dimanche 15 février 2009

Sommaire

1-Présentation

2-Composition des différents laits

3-Extraction des caséines du lait et plantes carnivores

4-lait maternel

5-Comparaison type de laits

6-Intolerance au lait de vache

7-Lait de soja

8-Conclusion

Conclusion

Le lait maternel est unique. Nul lait peu le remplacé, ni être si spécifique.

Il faut donc être pertinent et choisir la lait qui nous convient le plus. Sur la croissance, elles on toutes à peu près le même effet. Mais il faut tenir en compte pour chacun les allergies, les troubles intestinaux,… qui peuvent nous déterminé quelle type de lait prendre.

Et si aucun lait ne peu remplacé le lait maternel, Pourquoi sommes-nous les seuls mammifères continuant à boire du lait après l’allaitement ? Ne serions-nous pas saturés en produits laitiers ?

LAIT DE SOJA

 

Il commence peu à peu à s’introduire dans la culture occidentale par la substitution au lait de vache. Ce lait, même s’il provient d’une plante et non d’un mammifère, et aussi bonne nutritionnellement par :

-       un bon niveau de calcium et phosphore surtout à des ages tels que  de l’adolescence, ou ces nutriments joue un rôle essentielle dans le système osseux.

-       Être riche en magnésium, minéral qui intervient dans l’assimilation du calcium,..

-       Son haut niveau de fer et zinc qui permettent une meilleure assimilation des protéines

-       Son bon niveau en vitamines B.

Comparaison des laits

Après l’allaitement, nous sommes les seules mammifères qui continuent à consommer du lait. En effet, les laits ayant une composition différente, elles ont aussi des conséquences différentes dans notre organisme, et donc dans notre croissance.

Nous avons ici donc, les principales différences entre le lait maternel et le lait de vache, le plus consommé dans notre société.

 

Protéines : Les éléments constitutifs des laits ne sont pas les mêmes, notamment par la grosseur des molécules et des protéines.

Le lait de vache contient plus de protéines, mais surtout elle contient la «bêta globuline» une protéine qui n’est pas présente dans le lait maternel du fait qu’elle est la plus susceptible a provoqué une allergie. Ce manque de protéines fait la digestion plus facile contrairement au lait de vache qui va former un coagule difficilement digestible.

De plus le lait maternel contient un grand nombre de protéines anticorps qui protègent l’enfant.

 

Lactose : le lait maternel possède 50% plus de lactose que le lait de vache. Ce sucre est transformé en acide lactique par la flore intestinale ce qui favorise l’absorption de fer, calcium, et d’autres minéraux. Le reste des sucres participent énormément la protection contre les germes. Aucun lait d’origine animal ne protège l’homme contre les germes pathogènes, mais ils modifient le milieu digestif et intestinal entraînant leur absorption.

De plus à partir de l’age de trois ans le corps se voie obligé à fabriqué la lactase, enzyme responsable d’hydrolysé le lactose en glucose et autres sucres, au détriment des autres fonctions organiques ; étant la présence de lactase pas très souhaitable dans l’intestin.

 

Graisses saturées : En général le lait maternel contient plus de graisses étant d’une très grande importance pour le développement du cerveau et du système neveux. L’organisme a donc besoin de graisses de bonne qualité comme celle du lait maternel ou végétal. Le lait de vache par contre contient des grosses molécules lipides qui sont  quelque peu incompatibles avec le système digestif humain.

 

Calcium : Le calcium est essentiel pour la structure osseuse, alors que le calcium présent dans le lait de vache est codé pour les veaux, il ne sera pas donc adapté a nous et donc le niveau d’osséine sera plutôt faible. Le calcium est moins présent dans le lait maternel, mais son absorption est plus efficace.

 

 

Le lait de chèvre très utilisé lors de l’intolérance au lait de vache présente aussi des différences, mais elle reste parfois plus près du lait maternel :

-       La caséine étant responsable de la majorité des allergies au lait de vache est, comme dans la femme, beaucoup moins présente.

-       Elle ne contient pas la protéine qui forment des grosses molécules comme dans le lait de vache, est donc sa digestion est plus rapide comme pour e lait maternel.

 

Mais les pédiatres ne la recommandent pas pour des enfants inférieures à un an due à :

-un niveau protéique très haut

-un niveau de matière énergetique très faible

- et un niveau de de matière minéral très haute.

 

Voici un tableau comparatif :

Composición en 100 ml

Humana

Vaca

Cabra

Proteína (g)

1.2

3.3

3.3

Caseína (g)

0.4

2.8

2.5

Lactalbumina (g)

0.3

0.4

0.4

Grasa (g)

3.8

3.7

4.1

Lactosa (g)

7.0

4.8

3,8

Valor Calórico (Kcal)

71

69

76

Minerales (g)

0.21

0.72

0.77

Calcio (mg)

33

125

130

Fósforo (mg)

43

103

159

Magnesio (mg)

4

12

16

Potasio (mg)

55

138

181

Sodio (mg)

15

58

41

Hierro (mg)

0.15

0.10

0.05

Cobre (mg)

0.04

0.03

0.04

Yodo (mg)

0.007

0.021

 

Manganeso (mg)

0.07

2

8

Zinc (mg)

0.53

0.38

 

Vitaminas:

 

 

 

Vitamina A (I.U.)

190

158

191

Vitamina D (I.U.)

1.4

2.0

2.3

Tiamina (mg)

0.017

0.04

0.05

Riboflavina (mg)

0.04

0.18

0.12

Ácido Nicotínico (mg)

0.17

0.08

0.20

Ácido Pantoténico(mg)

0.20

0.35

 

Vitamina B6 (mg)

0.001

0.035

0.001

Ácido Folico  (mcg)

0.2

2.0

0.2

Biotina (mcg)

0.4

2.0

1.5

Vitamina B12 (mcg)

0.03

0.50

0.02

Vitamina C (mg)

4.0

2.0

2.0


Présentation

Actuellement, dans la société occidental on consomme tous le jours au moins un verre de lait par personne.En effet,depuis qu'on est petit nos mères nous obligent à boire du lait. Cependant, l'espèce humaine est l'unique mammifère qu'après l'allaitment continue à la consommer.De plus, chaque fois il existe des nouveaux types de lait. Donc ceci nous enmène à penser: des laits de natures différents ont-ils le même rôle dans notre croissance?

Lait maternel

L’allaitement maternel est la continuation de la fonction du placenta, il effectue le même rôle nutritif et de mise en place de l’information.
Le lait maternel correspond exactement à la constitution biologique du bébé et il a des multiples fonctions :

L’apport nutritif et énergétique par des acides gras insaturés stimule l’immunité ainsi comme l’équilibrage de son système nerveux.

Le message contenu dans les protéines transmet l’information nécessaire à la croissance.
Ceci est de même pour chaque espèce de mammifère.

Alors, un lait ayant des informations spécifiques qui correspondent à la croissance d’un veau ne serait pas elle nocive pour notre santé ?

Composition différent types de laits

Lait de vache :
Le lait de vache est composé de :

1. L'eau est le principal constituant du lait, à raison de 905 g par litre de lait. Elle permet l'acheminement de l’oxygène et des substances nutritives vers toutes les parties du corps. Aussi elle permet l’élimination des toxines par les reins et assure la régulation thermique du corps.

2. Les glucides (sucre) 48g/L
Le lactose est le glucide du lait. Aussi appelé “sucre du lait”, il est présent dans le lait à raison de 49 g par litre .Dans l'intestin, le lactose favorise le développement de bactéries qui inhibent les microbes pathogènes (microbe qui provoquent des troubles dans un organisme par virulence).

3. Les lipides (matière grasse) 43g/L.
Le lait est composé d’une multitude de globules de matières grasses, insolubles dans l’eau, suspendues dans ce qu’on nomme la “phase aqueuse”.Lorsqu'on laisse le lait non traité (c’est-à-dire le lait de ferme) les globules de matières grasses, plus légers que l’eau, remontent à la surface et forment une couche de crème.Elle contient aussi du cholestérol et des vitamines.La matière grasse du lait contribue largement aux besoins énergétiques du corps.

4. Les protéines (34g/L).
Un litre de lait contient des protéines qui sont constituées par l’association d’une vingtaine “acides aminés”. Pour assurer le bon fonctionnement de ses organes, l'organisme humain doit les synthétiser.Les protéines sont indispensables à la croissance de l'homme et au maintien de sa bonne condition physique. Elles sont là pour structurer et faire fonctionner toute cellule vivante.Les protéines sont partout : dans nos os, nos tissus, nos vaisseaux sanguins, notre peau, nos cheveux, nos ongles …

Les protéines du lait sont classées en deux groupes :
1. La caséine qui contient du phosphore et l'essentiel du calcium présent dans le lait. Elle représente en poids 80 % des protéines du lait.
2. Les protéines lactoprotéines qui représentent les 20 % restants. Il faut noter qu’ils contiennent aussi des enzymes. Elles sont présentes en très petite quantité mais sont indispensables aux fonctions vitales, comme la digestion.

5. Les sels minéraux (9g/L).
Le lait contient d’éléments minéraux (1,3 g de calcium, 1 g de phosphore, 1,6 g de potassium, 1,1 g de chlore, 0,5 g de sodium, 0,14 g de magnésium). Le lait est la meilleure source de calcium pour le squelette et les dents car il contient les proportions idéales de phosphore et de vitamine D nécessaires à l’assimilation du calcium par le corps.

6. Les vitamines
Les vitamines du lait se classent en deux catégories :
1. Les vitamines dites hydrosolubles, solubles dans l'eau et le lactosérum (vitamines B et C).
2. Les vitamines dites liposolubles, solubles dans les graisses et donc dans la crème (vitamines A, D et E)

Le lait contient presque toutes les vitamines indispensables à la vie à l'exception de la vitamine C. Il ne contient pas non plus de fer.

Laits (g/L) :

Composants soja: eau 92mL
glucides 30,4
lipides 22
protéines 37
Sels minéraux 8,4

croissance: eau 84mL
glucides 17,3
lipides 9,8
protéines 24,8
Sels minéraux 6,2

Lait de chèvre: eau 86mL
glucides 40
lipides 37
protéines 33
Sels minéraux 8

Intolerance au lait de vache




Dans la population humaine, certains adultes disent « ne pas supporter le lait ». Dans ce cas l’ingestion de lait peut être suivie de troubles intestinaux. Le lait contient trois types de molécules susceptibles d’être à l’origine de cette intolérance : les lipides, les protéines, le lactose. Les cas d’intolérance aux protéines ou aux lipides représentent une portion négligeable par rapport à ceux d’intolérance au lactose. Il est un glucide se trouvant quasi exclusivement dans le lait des mammifères. Ce dernier est pourtant bien digéré par la plupart des nouveaux nés grâce à un enzyme, la lactase. Alors sa synthèse dépend de l’expression d’un ou plusieurs gènes.

Le bébé digère bien le lactose, ce qui montre qu’il synthétise la lactase. Le gène responsable s’exprime dans les cellules de son tube digestif. L’intolérance au lactose de l’adulte peut être due à l’absence de lactase : le gène ne s’exprime plus. Par conséquent, le lactose passe dans l’organisme sans être digéré et produit des troubles gastrointestineux.

Le déficit n’est cependant jamais absolu, permettant l’absorption d’une quantité limitée de lait sans que le sujet se plaigne de symptômes.

Les causes :

· Le lactose est digéré grâce à une enzyme. Les enzymes sont des protéines issues de l’expression d’un gène .Cela nous amène a formulé l’hypothèse suivante : le fonctionnement du gène codant pour la synthèse de la lactase change au cours de la vie : son activité chez le nouveau-né permet la production de l’enzyme et la bonne digestion du lait.

(Il est important de signaler que l’allergie au lait peut avoir une origine héréditaire, mais ceci n’est pas le cas des intolérances).

Les symptômes :
Ils apparaissent depuis 30 minutes après ingestion de la nourriture contenant le lactose .Les symptômes sont des ballonnements, des crampes d’estomac douloureuses et des diarrhées. C’est ce symptôme qui est utilisé pour confirmer la maladie.

Conclusion: Mais actuellement cette intolérance n'est pas un problème grave puisqu'il existe d'autres laits qui peuvent remplacer le lait de vache.

Extraction des caseines du lait et plantes carnivores

Expérience

Observation:

Des nos jours la société pense que le lait est une source les plus importante de protéines. Mais ceci est-il fondé sur une rumeur ou au contraire c’est scientifiquement prouvé ? Notre groupe de Tpe a cherche des informations sur ce sujet. On a trouve pleins de tableaux qui nous indiquent la quantité de protéines qu’il a dans du lait (gramme/Litre).

D’une part, notre groupe veut savoir s’il y a le même nombre de caséine dans chaque type de lait car dans la plupart de boites de lait, ceci n’est pas indiqué.

Protocole : Extraction caséine

· Matériel :

100 mL de lait de soja, chèvre, U.H.T, croissance, demi écrémé.

Chauffeur

4 béchers

Acide acétique

4 Entonnoir

Papier filtre

Thermomètre

Compte goutte

Balance électronique.

· Expérience :

1. On chauffe les différents laits jusqu’au 60·C.
2. On met goutte à goutte l’acide acétique jusqu’a saturation dans chaque laits.

3. Puis on filtre grâce au papier filtre les caséines du lait.
4. Après l’avoir laissé filtrer au prend les protéines et on les pèse. (Pour quelques lait la filtration met plusieurs jours.)
· Résultats :

Lait U.H.T : 31.0g (dans 100mL). La filtration a durée 46 minutes.

Lait de chèvre : 38.2g (dans 100mL). La filtration a durée deux jours.

Lait de croissance : 29.1g (dans 100mL). La filtration a durée deux jours.

Lait demi écrémée : 19.2g (dans 100mL). LA filtration a durée 4 jours.

On n’a pas réussi à filtrer le lait de soja, on a essayé 2 autres fois mais dans aucun on a réussi. On n’a pas encore déterminé pourquoi l’expérience ne fonctionne pas.



Protocole : alimentation plantes carnivores.



Observations : D’autre part, on veut savoir si le lait est un aliment aussi complet comme on dit de nos jours. Et tous les types de lait (soja, croissance,…) sont-ils aussi efficaces ? Notre groupe a pensé qu’un moyen efficace de voire ceci serait de donner à différents être vivants d’une même espèce divers types de lait et observe leur croissance.

Par conséquent, on nourrira des plantes carnivores avec différents types de lait et on observera sa croissance. Puisque ces plantes mangent de la matière organique (mouches). E n plus, on a trouve en internet plusieurs expériences réalisent avec des plantes de cette espèce. Après nous avoir informé la plante carnivore qui a toutes les caractéristiques nécessaires (prix, conditions climatiques, grandi très rapidement) est la Dionée (DIONAEA MUSCIPULA ou attrape-mouche de Vénus).



On va utiliser comme paramètres pour voire leur croissance : son poids, sa taille, sa couleur, le nombre de « bouches » et la moyenne de la surface des feuilles.

· Poids :

1. Plante U.H .T =154.2g

2. Plante chèvre = 105.3g

3. Plante écrémé = 188.8g

4. Plante croissance = 158.5g

5. Plante témoin (alimentation naturel)= 148g

· Caractéristiques :

1. Plante U.H.T : 14 bouches et 1.5cm^2

2. Plante chèvre : 10 bouches et 1.9cm^2

3. Plante écrémé : 10 bouches et 2cm^2

4. Plante témoin : 12 bouches et 1.8 cm^2

· On leur donnera à manger 2 fois par semaines mercredi et samedi. On leur posera dans les bouches la caséine filtré et on observera leur croissance jusqu’au jour qu’il faut donner la production.



· Nos plantes ont mort depuis la première semaine sauf la plante témoin. Leur couleur est marron et beaucoup de feuilles sont tombés.



· On a recherche des explications à la mort de nos plantes.

Hypothèse: l’acide acétique qu’on a utilisé est entrain de tuer de nos plantes. Donc il reste de l’acide acétique dans nos caséines

Protocole expérimental : on va mesure le PH des caséines filtrés avec du papier PH.

Résultats :

1. U.H.T : PH4

2. Chèvre : PH3

3. Croissance : PH3

4. Écrémé : PH4

Conclusion :

Le PH est acide donc il reste de l’acide acétique en conséquent on a empoisonné nos plantes. On n’a pas le temps de recommencer notre expérience avec les plantes puisqu’elles n’auraient pas le temps de grandir.